Pourquoi ne pas sauter le pas ?

Les ''mauvaises'' raisons de ne pas utiliser son vélo plus souvent

Aujourd’hui encore, nombreuses sont les idées reçues et les craintes sur l’adoption au quotidien du vélo électrique, de la trottinette électrique ou encore de la roue electrique dans ses déplacements et notamment pour sur le trajet domicile travail. Nous vous proposons un tour d’horizon de ce que nous nous entendons parfois et les réponses que nous apportons sous forme de mini série. N’hésitez surtout pas à commenter avec vos propres préoccupations, ou, si vous êtes déjà pratiquant, à nous faire partager ce que vous entendez le plus souvent à la machine à café.

Aujourd’hui on attaque par les plus souvent entendues, ensuite viendront les aspects sécurité pour vous, et pour votre deux roues électriques, et encore sur votre santé et bien être.

- Le vélo c’est que quand il fait beau

Pourtant c’est bien dans les pays du nord de l’Europe et non dans ceux du sud, que ce type de transport est le plus développé. A Copenhague ou Amsterdam la part modale du vélo est de plus de 20% et sans aller si loin, à Strasbourg il est de 8%. En comparaison, Barcelone, Marseille ou nice ne sont qu’à 1%.

L’avantage du vélo c’est qu’on n’est pas soumis aux aléas de la route. Alors quelle que soit l’heure à laquelle on part, on met le même temps, du coup, il est plus facile de se permettre de partir après l’averse. De toute façon, quand il pleut les bouchons sur la route battent des records, et on n’arrive pas plus tôt, sans compter l’état de nerf après 2 heures de bouchons...

Avec le développement de ce mode de transport alternatif, les fabricants ont créé des produits qui conviennent tout à fait à se protéger des intempéries.

Ainsi, il existe de très bonne protection de pluie. Il est important dans choisir une qui vous permet de rester libre de vos mouvements, d’être visible, et de vous protéger de la pluie tout en laissant circuler l’air pour éviter l’effet de serre. Préférez des fibres qui ne retiennent pas les gouttes, cela sèchera en un clin d’œil en arrivant au boulot sans en mettre partout! Par exemple, le FULAP avec sa visière et son système exclusif de capuche qui suit les mouvements de tête permet une grand souplesse, et même de protéger ses lunettes. (Les porteurs de lunettes savent à quel point la pluie est gênante !). Vous compléter la tenue avec éventuellement un pantalon de pluie assez long pour vous protéger des éclaboussures. Ainsi vêtu vous ne craignez plus la pluie, une fois arriver

De même, contre le froid, il suffit de porter une tenue adéquate, des gants, un bonnet sur ou sous votre casque, une veste chaude (mais pas trop) et aérée (pour éviter de transpirer).

Et enfin, avouons-le les jours de neige sont assez rares. Quand on voit la galère que cela représente en voiture….le vélo ne fera pas pire ! ''dans ce dernier cas, adopter plutôt la luge ?''

- C’est lent

La vitesse moyenne en ville d’une voiture c’est 17 km/h. Elle est de 16km/h en vélo classique....

Avec les aménagements qui se créent,(double sens cyclable, zone 30...) les itinéraires d’un point à un autre sont souvent plus directs et plus court en vélo ou encore plus en trottinette électrique qu’en voiture qui sont soumis au sens unique et autre détour par les rocades.

On peut aussi reprendre ce que nous avons précédemment évoqué : la fiabilité des temps de trajet. Rare sont les bouchons à vélo. Le temps de trajet ne dépend ni du temps, ni du jour de la semaine, ni des vacances scolaires... ou dans de si faibles proportions. Cela n’influe que sur le confort de route.

On en profite pour vous rappeler de faire attention, quand vous remontez les files de voitures, aux portières qui s’ouvrent, aux piétons qui traversent....

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